La Vérité en Salade.

Publié le par sportiximo

Bonjour ami lecteur,

 

Hier, alors que le soleil couchant irisait les Monts du Jura de reflets mordorés, je me livrais à quelques saines introspections, allongé à même le sol dans le jardin de ma petite propriété Vaudoise…   Il m’arrive quelquefois de m’astreindre à ce petit exercice, que je recommande vivement et qui consiste, en mes moments de spleen, à me réfugier contre le sein nourricier de notre mère la Terre…

Parce que tu conviendras avec moi, malgré ton air bête et tes pieds plats, que notre chère Gaia a pour nous les humains les tendresses d’une mère… et les mêmes faiblesses, les mêmes complaisances envers tous nos excès… Parce qu’entre nous, hein,… L’homme… Bon… Tu m’as compris… Il est con… Je dirais même plus, il nait con…et il le reste… Con tout bien… Con en plein… Con du début à la fin… Depuis les neiges d’antan jusqu’à la dernière averse comme le chantait si bien l’ami Georges qui l’était sans doute un peu moins que les autres lui…

Mais bon, la Terre elle fait comme de rien. Elle continue à nous laisser arpenter sa surface malgré tous nos travers… Pourtant, parfois je me dis que ça ne va pas durer… Qu’un jour la Terre elle va dire Merde… Merde à tout… Merde à nous… Merde à Newton surtout tiens… Il va arriver un moment où elle en aura marre la terre… Marre de notre connerie… Epuisée qu’elle sera la Terre… Fatiguée… Fatiguée de nous supporter dans le vrai sens du terme… Elle va laisser tomber… Baisser les bras… Hop… Je vois ça d’ici… Terminé l’Attraction terrestre… Elle lâchera l’affaire et nous commencerons tous à aller nous balader de-ci-delà au grès des vents bons ou mauvais… Mieux… Tiens… Elle va tant tellement en avoir classe de nous qu’elle va changer la force d’Attraction contre une force de Répulsion et tous nous envoyer valser dans les confins… Ziouuuu… Bye, bye l’homme et sa connerie congénitale... Expédié au diable vauvert… Au fin fond de la galaxie… Far, Far away… Même pas sur orbite comme le suggérais l’ami Michel… Non… Non… Le plus loin possible… Tu vois le tableau ami lecteur malgré ta vue basse ?

 

Je pensais donc à tout ça, couché dans mon petit jardin, caressant l’herbe rase que mon jardinier entretien avec rigueur et précision. Les raisons de ce regain de misanthropie me demanderas-tu ?

Je te dirais que c’est un tout… Un éclair de lucidité… Une de ces fulgurances qui me frappent de temps en temps lorsque je songe à mes contemporains dans lesquels je m’inclus… Je m’y inclus d’autant plus depuis quelques jours… Et je me botterais bien moi-même le dargeot si je n’étais pas souple comme un pare-brise… Qu’heureusement que la lecture de quelques commentaires de mes amis CH7 et Rasta me fit raison retrouver… Une raison que je n’avais su garder lorsqu’il l’eût fallu… Tiens je vais te dire, ami lecteur, j’en suis tout honteux…

Parce que bon… Je pourrais te tenir là des grands discours avec des Nuls n’est parfait machin, l’erreur est humaine bidule, et qui n’a jamais péché ceci-cela… Y’aurait du vrai sans doute… Mais là… Tant tellement con je fus que ça resterait un peu court comme explication… Non… Non… Je ne vais donc pas te raconter de salade, même si t’es souvent bête à manger du foin, mais je vais te dire la vérité, rien que la vérité et toute la vérité…

Et la vérité c’est que dans dans le cas d’espèce l’Humanum est largement dépassé… On est tout bien dans le Diabolicum…

 

Parce que tu ne vas pas me dire… Hein… Abandonner tous ses principes pour quelques petits commentaires acides, même pas tous immérités en plus… Benh merde… Aucune excuse je n’ai !

J’vais pas non plus te plaider l’instant d’égarement… Ce serait te mentir… Bien lucide j’étais ! Bien campé sur mes petites positions… Sûr et certain de mon bon droit en plein…

Alors bon… Y’ avait aussi un côté marrant à la chose… Ne serait-ce que de voir la rapidité avec laquelle les rapaces se précipitèrent sur ce déplorable incident… Ah ça… Je peux te dire que ça m’a bien fait marrer de voir toute la baboulerie venir frapper à ma porte… Qui avec son formulaire d’adhésion au F.A.Y… (Tiens un jour faudra que je ponde un truc sur ce que m’inspirent les mouvements qui se proclament « Front » de quelque chose… mais bon… ça attendra), qui avec sa pétition… Sans parler de tous les « je te l’avais bien dit »… Faut dire que j’en ai un peu fait des caisses aussi...

Tiens… J’te prends l’histoire du Pari… Bon… Alors bien évidemment Pari il n’y a jamais eu… Hein… Ni avec Pierre, ni avec Paul, ni avec Jacques… Mais ça m’a fait aussi marrer de voir que lorsque j’évoque un blogueur, certes connu mais toutefois anonyme, les soupçons se portent immédiatement sur l’inénarrable Thomas… Accuser à tort le Toto sur ce coup ! Pis surtout c’était juste une mauvaise raison pour… Bref… Je n’aurais certes pas dû…

Parce que tu vois… A l’origine… J’me suis dit… On va rire un peu… Et qu’après tout, un petit échange fielleux entre Yellow et ma pomme… Y’avait de quoi alimenter les conversations du blog pendant quelques temps… Sauf que… Faut avouer… Je me suis fait un peu prendre au jeu… Et qu’à un moment… Je ne plaisantais pas forcément tant que cela… Voui, Voui… T’as bien lu… J’ai perdu une certaine partie de mon légendaire calme Olympien… Et je le regrette… Oh ça oui… Je le regrette…

Je vais te dire, ami lecteur, j’ai toujours affirmé ici et ailleurs que tout ça, ce blog et celui d’en face, n’étaient que vastes marrades et autre joyeuses galéjades… Qu’il ne fallait pas prendre aux sérieux tout ce que l’on pouvait lire, qu’il ne fallait pas se prendre au sérieux tout court d’ailleurs… et encore moins ME prendre au sérieux et au pied de la lettre… Benh force est de constater que c’est plus facile à écrire qu’à respecter ce genre de posture altière… Là est un peu la première leçon de l’apprenti sorcier…

 

Première leçon parce qu’il en est d’autres à tirer de cette triste histoire… Et apprenti sorcier parce qu’il y a un peu de ça aussi dans ma faute… ma grande faute…

Lorsqu’il y quelques mois j’ouvrais ce petit espace pour pouvoir m’épancher tranquillement, m’étant affranchi des chaines de l’allégeance à un certain hébergeur précédent, je n’attendais pas autre chose de l’aventure que la joie simple de pouvoir élucubrer en toute liberté et, si c’était possible, de divertir un peu le lecteur indulgent qui trouverait matière à rire au détour d’un bon mot ou au coin d’une amusante tournure de phrase…

Mais il m’est très vite apparu que, en dehors de mes articles personnels, il pouvait aussi y avoir matière à divertissement dans les commentaires des lecteurs eux-mêmes. Surtout lorsque lesdits lecteurs commencèrent à s’écharper joyeusement en un concours de vannes et autres cassages qui n’auraient pas dépareillées dans un certain film se déroulant dans la baie des Anges... (Ce qui me fait d’ailleurs penser que dans ledit film le roi de la casse est souvent vêtu de… enfin… Bref…).

Surtout, les joutes épistolaires en question amenaient le nombre de Commentaires à mes articles dans des hauteurs que je n’aurais jamais pensées atteindre… 1.000+ Posts pour mon petit espace perso… De quoi se laisser aller à la folie des grandeurs… Et de quoi succomber à quelques viles tentations… Notamment celle de mettre délicatement de l’huile sur le feu plutôt que dans les rouages…

 

A l’instar des plus succesful de mes confrères, je tombais donc dans la déplorable facilité qui consiste à distiller adroitement le venin de la provocation afin que de relancer les débats et de provoquer les réactions de plus en plus violentes et de plus en plus nombreuses… Honteux je suis là encore…

Parce que je n’ai pas voulu penser que, au croisement d’une raillerie et d’un quolibet, pouvait se trouver quelques propos blessants…

En vertu de ma conviction première que sur la toile tout n’était qu’artifice et virtualité, inconséquence et futilité, je n’ai pas pris garde que certaines gouttes d’eau pouvaient faire déborder les vases les plus grands… Suite aux, ô combien, regrettables incidents de la fin de la semaine passée, pris d’un doute affreux, je repris le fil de l’ensemble des commentaires ayant été déposés ici et je dois bien admettre que j’aurais dû faire preuve de plus de discernement en ne tolérant pas certains propos outranciers, ou certaines pratiques condamnables…

Oh, certes, je pourrais me défendre. Arguer que bon nombre des conflits qui se déroulaient chez moi avaient source dans un blog voisin… Un blog sur lequel je ne suis pas suffisamment présent pour en connaitre tous les tenants et les aboutissants de sorte que je ne pouvais arbitrer sur la justesse et le bien-fondé d’une attaque, aussi condamnable soit-elle,  faute de pouvoir déterminer si elle n’était pas la réponse à une attaque encore plus vile dont je n’aurais pas eu connaissance…

Et puis bon, entre nous, les cestpasmoiquaicommencé et autres mécanismes de défense des pratiques les plus basses… Benh voilà quoi… J’avais donc benoitement décidé de laisser écrire tout et son contraire à partir du moment que cela restait justement des querelles de personnes et ne partait pas dans des délires rastecophiles ou autres expressions de phobies de toutes sortes.

Je laissais même un des participants faire état, certes en termes voilés, de mon état civil sans en prendre ombrage, tout comme j’en laissais d’autres se renvoyer leurs noms, adresses et professions aux visages… Là aussi, sans doute, j’eu pu me montrer plus vigilant…

Mais en vérité, je vous le dit, mon plus grand regret en la matière fut de n’avoir pas su résister à la tentation d’une petite provocation gratuite que j’aime à distiller de loin en loin… En mémoire d’un certain acte fondateur d’une des plus admirables entreprises qui n’aient jamais eu lieu sur le blog d’en face, je décidais de commémorer l’événement en parodiant mon cher voisin dans sa propension à ne s’indigner que de ce qui le touche directement… Fut-ce pour des futilités… Tout en laissant libre court à l’expression des idées les plus condamnables par ailleurs… Cet épisode, connu sous le nom de « l’Affaire du Fait du Prince » ne fait pas non-plus pour l’honneur de ce blog et de son propriétaire (moi en l’eau cul rance). Bon… Je ne me jette pas la pierre ni ne renie mon propos originel mais je regrette de m’être un tant soit peu enfermé dans cette posture et d’être resté sourd aux controverses que cela créa par la suite.

Ce qui aurait tendance à prouver que les plaisanteries les plus courtes sont les meilleures… Deuxième leçon…

 

Enfin, il est une dernière erreur que je pense avoir commise… Sans doute de bonne foi… Ce qui ne l’excuse en rien…

Moi, vous me connaissez, j’ai toujours porté mon indépendance en étendard de ma liberté d’expression… Assujetti à aucune cause noble ou ignoble le Ytse… Membre d’aucun Parti… Affilié à aucune ligue… Jamais porté par le courant sans pour autant systématiquement nager contre… Insaisissable… Me faisant gloire de ma mauvaise réputation lorsque honni pour simplement vouloir suivre son chemin de petit bonhomme…  Puis Réfractaire surtout… Réfractaire toujours… Réfractaire lorsque l’on cherche à m’embrigader dans quelque combat que ce soit… Lorsque l’on veut me faire adhérer à un quelconque idéal fut-il des plus beaux… Forte tête… Tête de cochon… Tendance manifeste à vouloir aller contre plutôt qu’avec ! Par principe ! Connaissant tant tellement la nature humaine et les petits travers des uns et des autres… Tu vois de quoi je parle toi qui me lis fidèlement… Je l’évoquais tantôt à propos du clanisme et de la partisannerie qui transforment les meilleurs individus en foules beuglantes promptes à Lyncher tout ce qui ne pense pas pareil.

Un pour tous, tous pour un, Mon cul ! Tous contre un, Oui !

Et moi de prendre systématiquement la défense du pauvre hère poursuivit par la meute en délire… Quitte à risquer la corde à mon tour… (Virtuellement hein… Parce que sinon… Hein ?... Bon…)

Bref… Défenseur des causes perdues le Ytse… Même les plus indéfendables… A ses risques et périls…

Sauf qu’à force d’à force… Ça finit par vous faire dire et faire tout et son contraire… Pis surtout, à prétendre vouloir prendre fait et cause pour les idées les plus contradictoires, on se retrouve à être au four et au moulin… et en voulant être partout… On ne se retrouve nulle part…

Dans le même temps, j’ai aussi souvent vanté ma stricte neutralité… De celle qui devait me permettre de ne pas prendre parti dans aucun des nombreux conflits qui éclosent, croissent et multiplient ici et en face… Plus neutre que toute la Suisse le Ytse… Ne voulant pas intervenir et encore moins arbitrer les petites chamailleries qui opposent les uns et les autres…

Ainsi, je pouvais me retrouver à la fois à monter au créneau pour ferrailler contre la meute excitée lancée aux trousses de tel ou tel, tout en fermant les yeux sur d’autres agissements parfois tout aussi répréhensibles au motif que cela ne me regardait pas… Cette dichotomie créant une certaine distorsion dans la compréhension de mon positionnement. 

Or, si l’usage de la distorsion est fortement recommandé en bonne musique couillue, il est fort périlleux en matière de communication… Parce qu’à brouiller les cartes, il ne faut pas ensuite s’étonner de se retrouver aux portes de la ville avec force goudron et autres plumes…

Bref, en la matière comme en bien d’autres, le jusqu’auboutisme porte en lui les germes des pires ennuis et on ne peut dès lors que s’en prendre à soi même si on se prend des retours de manivelles.

 

J’avais donc ces noires pensées en tête, mises en exergue par la lecture des posts de quelques respectables blogueurs qui m’honorent parfois ici de leur visite… Il me faut d’ailleurs sans doute les remercier ici pour leurs justes remarques qui portèrent mon attention sur mes coupables penchants… Merci donc à CH7, Rasta et Marius… Que mon divin ami vous prête longue vie et prospérité dans vos entreprises…

Et c’est en adressant cette petite prière que j’entrevis la lumière et la solution à ma crise de conscience…

J’en appelais donc à l’ami en question qui, une fois que j’eu préparé une bonne bouteille d’un excellent Calvados 1961 dont j’avais fait récemment l’onéreuse acquisition, vint me trouver pour entendre ma confession…

Bien entendu, dans sa parfaite omniscience, il était parfaitement au fait de toutes ces affaires mais il ne m’en écouta pas moins patiemment avant que de me tancer vertement. J’implorais alors son pardon qu’il consentit à me donner tout en m’imposant pénitence. Me voici donc banni du blog voisin jusqu’à nouvel ordre…

Ce sera sans doute difficile… Mais ainsi soit-il… Que ça volonté soit faite et que mon destin s’accomplisse…

 

Dans sa grande mansuétude, il consentit cependant à me laisser œuvrer ici. Ce qui me permet de continuer de t’abreuver de mes indispensables petits papiers ami lecteur et, j’espère, de continuer à te lire ici à défaut de pouvoir le faire ailleurs pendant un délai que je n’espère pas trop long…

Publié dans PLF

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C
voir mon blog(fermaton.over-blog.com)
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D
*rose
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D
je dois humblement avouer que mon com vient d'avantage du post de pose que de celui de sofoot...<br /> <br /> l'attrait du sexe doit être encore plus fort que celui de la dissertitude...<br /> <br /> par contre je suis passé souvent sur le blog d'en face bien avant d'y écrire (genre 2-3 ans avant) et euuuh sodomie ?<br /> <br /> une seule remarque me vient au spirit... MAIS POURQUOI AI JE RATE CAAAAAAAA...<br /> <br /> post inutile, mais fallait que ça sorte
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ڐ
Ah la mélancolie !<br /> Et dire que certains croient que c'est une insulte ...<br /> Tsss.<br /> ...<br /> Si tu t'appelles mélancolie<br /> On est fait pour l'oublier ensemble<br /> Les chiens perdus, les incompris<br /> On les connaît, on leur ressemble<br /> ...
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R
Cher Ytse,<br /> <br /> Quelle courageuse confession. Ainsi ce Dieu qui accompagnait tes ivresses était le Dieu Audimat. Il est vrai que la tentation est grande. Prions pour que notre "Blogrank" flirte avec les 100. Les<br /> cents quoi au juste? Seul Justin (ou deux), saucissonnier de profession (de foi), aurait la réponse.<br /> <br /> [intermède pluvieux] "tiens ... il pleut!"<br /> <br /> Voilà mon p'tit conseil de blogiteuse cogiteuse du dimanche (après-midi, car le matin je dors, surtout après une Saturday night fever). Ecris pour toi, et toi seul! Tu t'en fou des lecteurs. Ces<br /> ingrats te lâcheront dès que tu ne fourniras plus le bon mot, la bonne histoire, ou la flatterie de les nommer dans tes articles. Sois égoïste comme un parfum de chez Chanel. Par contre, lâche<br /> cette bouteille! je préfère encore que tu te saoules avec un Calva 1969, année "alambique" comme chacun sait.<br /> <br /> je termine sur un air brassé par Georges. Le blog de Pierrot, non, ce n'était pas le radeau de la Méduse, ni d'la littérature, mais bien des partenaires de crimes. Souvenons-nous du temps où nous<br /> nous sodomisions et philosophions virtuellement et amicalement. Si seulement nous pouvions laisser nos rancoeurs et nos aigreurs dans les vestiaires avant d'entrer sur un blog.<br /> <br /> Glhop de Roazhon a raison. Roulons-nous des pelles, ça empêche de dire des bêtises.
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S
<br /> <br /> Ma chère Rose, <br /> <br /> <br /> J'espère que tu ne te formaliseras pas du pronom possessif dont je fais usage ici en tout bien tout honneur.<br /> <br /> <br /> Une fois de plus tu parles d'or... Oui j'avoue, partis tout seul avec l'idée de divaguer à mon aise en ses pages, je vis bientôt les com fleurire et j'en conçu quelque stupide fierté... Oh, au<br /> début mes intentions étaient pures mais le vil webimat m'a détourné de mon droit chemin... Honteux j'en suis encore...<br /> <br /> <br /> Après, tu nous parles d'un temps que les moins de 2.500 ans ne peuvent pas connaitre mais qui fut certainement plaisant à vivre... Philosophie et sodomie sont les deux mamelles de l'hédonisme...<br /> <br /> <br /> Ton post ci-dessus m'a fait chaud au coeur et m'a montré la voie: poursuivre tranquillement ici mes petits délires dans mon coin de paradis... Seul dans mon bistrot préféré quelque part où tu<br /> sais... Ténébreux et bucolique... Mélancolique aussi un peu quand je regarde ce monde... <br /> <br /> <br /> Merci en tous cas...et à bientôt.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> <br />